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Migrants : habitants et commerçants du nord de Paris n’en peuvent plus

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Depuis une semaine, le nombre de migrants présents dans le 19e arrondissement de la capitale a bondi. « Insécurité de proximité », bagarres intercommunautaires, baisse d’activité commerciale… habitants et commerçants n’en peuvent plus. 18 000 clandestins ont été accueillies en hébergement.

Ce sur quoi nous travaillons arec l’Etat est qu’il y ait une organisation structurée, professionnalisée, pérenne, de mise à l’abri et d’insertion dans les parcours administratifs… (Emmanuel Grégoire, adjoint à la maire de Paris, en charge des services publics.)

Réfugiés: les habitants du nord de Paris à bout par LePoint

Les services de police appellent ce coin de Paris le « triangle des migrants ». Situé au nord de la capitale, aux alentours de la place Stalingrad, ce territoire est en effet délimité par trois campements. Sous le viaduc du métro : trois rangées de tentes abritent des familles érythréennes et soudanaises. Le long du canal Saint-Martin, quai de Jemmapes, des Afghans et des Syriens cohabitent sous des abris de fortune. Le long du bassin de la Villette et de l’avenue de Flandre enfin : des Somaliens et des Soudanais , encore, ont créé un « village » de cabanes en carton et en toile plus ou moins imperméables.

Régulièrement démantelés, ces trois bidonvilles ont brutalement gonflé en début de semaine. Certains y voient la conséquence de la fermeture de la « jungle » de Calais, actuellement en cours d’achèvement. Peu de réfugiés rencontrés sur place reconnaissent pourtant être passés par le nord de la France. La route que les réfugiés, rencontrés par Le Point.fr, déclarent avoir suivie passe plutôt par l’Italie… après la Libye. «Le boulevard de La Chapelle est le terminus que leur désignent les passeurs, car ce quartier est proche de deux grandes gares», nous expliquait, pendant l’été, Dominique Versini, adjointe au maire de Paris en charge du dossier.

Selon plusieurs sources associatives, les migrants seraient aujourd’hui entre 2 500 et 3 000 (contre 2 000 il y a encore 10 jours). Majoritairement des hommes seuls . Une « opération de contrôle » organisée vendredi 28 octobre au matin a conduit la police à procéder à l’arrestation d’une poignée de sans-papiers pour des vérifications de leur état sanitaire et de leur statut administratif. Ils ont été transportés par bus ; un dispositif policier sécurisant l’intervention. Le Point a dénombré une douzaine de cars de CRS sur place, vendredi matin. Une dizaine de tentes ont été démontées vers 8 h 30 mais, dès midi, les espaces qu’elles occupaient jusque-là étaient réinvestis par d’autres migrants. […]

Habitants comme commerçants confient éprouver « le sentiment d’être abandonnés » par les pouvoirs publics. «On avait déjà connu ça il y a une quinzaine d’années lorsque des dealers de crack s’étaient installés dans le coin», relève Marie Léon. «Le même désarroi nous avait alors envahis. Nous avions réagi en nous mobilisant», ajoute Alain Guillo qui veut rester optimiste. […]

Le Point


NKM : « la première préoccupation des maires ruraux, ce n’est pas la question identitaire c’est la fibre optique ou la 4G »

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Si la droite parle d’identité, c’est sans doute pour s’adresser à la France d’en bas, qui souffre, angoisse et craint le déclassement. Vous semblez parler à l’autre France, celle des élites, qui profite de la mondialisation. Êtes-vous la candidate des bobos urbains et connectés, de “la France qui va bien” ?

J’entends cette critique, mais il faut amender ce discours sur les deux France et regarder ce qui les relie, ce qui peut les garder connectées. Nous sommes tous ambivalents dans notre relation à la modernité. Nous avons tous en nous-mêmes un peu d’angoisse au sujet de nos racines et un regard porté sur l’avenir. J’ai passé beaucoup de temps dans des communes rurales, j’ai rencontré beaucoup de maires ruraux. Leur première préoccupation, ce n’est pas les Gaulois ou le burkini, ni la question identitaire ou sécuritaire, c’est la fibre optique ou la 4G. Ils se demandent comment faire pour que leur village soit connecté et puisse attirer de l’emploi, des commerces. Ces deux mondes, ces deux France, ne sont ni déconnectés ni irréconciliables. […]

Valeurs Actuelles

La députée PS Monique Rabin souhaite la bienvenue au «migrant inconnu»

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Dans un édito paru sur son site internet le 21 octobre 2016 et intitulé « Bienvenue chez nous, tu y seras chez toi », la députée PS du Pays de Retz, Monique Rabin, souhaite via une lettre la bienvenue au « migrant inconnu ».

Bienvenue chez nous, tu y seras chez toi.

Je ne sais pas qui tu es, ni d’où tu viens. Je ne sais pas ce que tu fuis : la guerre ? La faim ? La torture ? Le souci des tiens confrontés à l’extrême pauvreté ? Je sais que forcément ce fut pour toi un déchirement absolu de quitter ta famille, ta maison, ton métier. Pour venir chez nous, tu as affronté la cupidité des passeurs, les mers, le froid, la rue, écrit Monique Rabin. […]

Certains Français chez nous trouvent que ta place est là-bas sur les champs de bataille ou dans les bidonvilles. Plus triste encore, des Français ont oublié que certains des nôtres, comme toi, ont dû quitter notre pays pour échapper aux trains de la mort avant d’être accueillis par des Justes, dans des pays qui leur ont ouvert les bras. Sache que ces Français-là ne reflètent pas l’âme de la France.
[…]

Ces engagements divers sont cet autre visage de la France. Pour répondre à la haine qui a pu se manifester, sans naïveté je veux te redire, à toi et aux tiens, que nous n’avons pas peur de vous. Vous êtes nos amis, nos frères, nos pères, des êtres humains, avec vos faiblesses et vos forces. Entendre que les migrants seraient forcément des criminels me fait horreur. Je voudrais au contraire vous aider à retrouver votre dignité bafouée sur les mers et dans les broussailles de Calais. À toi, migrant inconnu, je souhaite la bienvenue. Je serai heureuse de te rencontrer, de t’entendre, de partager. La fraternité créée t’aidera, je l’espère, à surmonter les obstacles qui subsistent. Car bientôt tu recevras des papiers actant la régularité de ta présence parmi nous. […]

Trop souvent ces questions sont abordées de manière unilatérale comme si seul l’étranger avait besoin de nous. Mais moi je veux que tu saches combien nous avons besoin de toi. La relation humaine, vraie, ne se construit que dans l’échange. Dans ce monde occidental, qui abandonne progressivement sa philosophie des droits de l’Homme au profit de biens plus matériels, et qui préfère la circulation des biens et des capitaux à celle des personnes étrangères, nous avons besoin de toi. Tu peux nous aider à un sursaut salutaire. C’est par les actions que nous mènerons chacun de notre côté et c’est dans l’amour de l’être humain que nous retrouverons, toi et moi, toi et le peuple de France, notre dignité. Pour tout ce monde à renaître je te remercie.

Blog de Monique Rabin

« Patrick Buisson, le mauvais génie »

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France 2 – 27/10/16

«  »Patrick Buisson, le mauvais génie », c’est l’histoire d’une ascension, mais aussi d’une énigme. L’enquête est menée par les journalistes Ariane Chemin et Vanessa Schneider, et retrace le parcours de cet idéologue d’extrême-droite, propulsé au cœur du pouvoir en tant que principal conseiller de Nicolas Sarkozy.  »

Lapeyre retire ses meubles «Colonie» à la suite de la colère des internautes

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Une internaute a dénoncé sur Facebook et Twitter le nom choisi par la marque Lapeyre pour la collection de meubles, intitulée « Colonie »…

« Plongez-vous dans l’univers colonial. Et optez pour une ambiance exotique avec cette salle de bains en teck massif. Chaleur et dépaysement garanti ». Cette invitation surréaliste est signée Lapeyre, la marque d’aménagement d’intérieur. Accompagnant une collection de meubles baptisée « Colonie », ce message et le nom de la ligne ont fait bondir de nombreux internautes. Mardi dernier, révèle le site d’information BuzzFeed News, Gracy Libz, inscrite sur Facebook, décide d’interpeller la marque directement sur le réseau social.

(…) 20minutes.Fr

Hollande reconnaît le rôle de l’État dans la persécution des Tsiganes

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François Hollande était samedi à Montreuil-Bellay dans le Maine-et-Loire dans ce qui fut le plus grand camp d’internement de Tsiganes de France. Il a reconnu la responsabilité de la France dans cette tragédie.

François Hollande a plaidé pour que le livret dont les gens du voyage en France ont l’obligation de délivrer aux autorités soit abrogé. « Pour que les gens du voyage soient des citoyens comme les autres, des Français et des Françaises à part entière« , a dit le chef de l’État.

Hollande reconnaît la responsabilité de la France dans l’internement de milliers de Tsiganes durant la seconde guerre mondiale

Voilà plus de trente ans que les Tsiganes de France attendaient cette reconnaissance. Samedi matin, François Hollande était à Montreuil-Bellay dans le Maine-et-Loire à l’occasion d’une cérémonie nationale du souvenir organisée sur les vestiges d’un camp d’internement de Tsiganes datant de la Seconde Guerre mondiale. Ce déplacement du chef de l’État symbolise le 70e anniversaire de la libération des derniers Tsiganes en 1946.

«Le jour est venu et il fallait que cette vérité soit dite», a dit le président français. «La République reconnaît la souffrance des nomades qui ont été internés et admet que sa responsabilité est grande dans ce drame», a-t-il poursuivi. «La France reconnaît sa responsabilité dans le drame de Montreuil-Bellay» sans «oublier que dans d’autres régions, les gens du voyage ont été déportés à Auschwitz parce qu’ils étaient des Tziganes», a dit François Hollande.

C’est la première fois qu’un président évoque ainsi la responsabilité de l’Etat dans la persécution des gens du voyage, une reconnaissance réclamée de longue date.

Le Figaro 1 ; 2

Allemagne : la visite d’une mosquée est obligatoire pour les élèves du Schleswig-Holstein.

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29/10/2016

[ Devant l’émotion suscitée par l’affaire de Rendsburg – voir ci-dessous – le ministère de l’Éducation du Schleswig- Holstein, dirigé par Britta Ernst (SPD), a répondu aux questions de la presse régionale.]

– L’avocat [des parents] affirme que le père a demandé qu’on propose à son fils un cours alternatif, éventuellement dans une classe parallèle; cela aurait été refusé. Est-ce exact ?

– Réponse[du ministère] : Oui, le père avait proposé comme alternative que son fils assiste aux cours d’une classe parallèle. L’établissement scolaire a refusé, car dans le cadre des programmes de géographie on doit donner aux élèves un aperçu sur la culture des sociétés musulmanes. En faisant visiter la mosquée dans le cadre des cours de géographie, l’établissement scolaire répond à l’objectif pédagogique fondamental de la loi sur l’école du Schleswig-Holstein […] : « L’école doit favoriser l’ouverture des jeunes vis-à-vis de la diversité culturelle et religieuse, leur volonté d’entente entre les peuples et leur aptitude à promouvoir la paix. »

(Traduction Fdesouche)

Schleswig-holsteinische Landeszeitung
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26/10/2016

Le ministère public d’Itzehoe enquête dans l’affaire d’un élève de Rendsburg (Schleswig-Holstein) qui était absent lors de la visite d’une mosquée dans le cadre scolaire. Les parents de ce garçon de 13 ans ne voulaient pas, manifestement pour « des raisons idéologiques », que leur fils se rende avec sa classe de géographie dans un lieu de culte islamique.

Suite à cela, l’établissement scolaire avait fait intervenir l’administration qui a enjoint les parents de payer chacun 150 euros d’amende. Les parents ont fait appel de cette décision.

[…]

De l’avis du lycée, les parents ont commis une infraction en tenant leur enfant délibérément éloigné des cours au mois de juin. La directrice Renate Fritzsche a déclaré à la chaîne NDR que le ministère avait encouragé les écoles à visiter les mosquées.  » Éveiller chez les enfants la disponibilité à s’intéresser aux cultures étrangères et à faire preuve à leur égard de tolérance est un objectif important de notre éducation scolaire. »

(Traduction Fdesouche)

Der Spiegel

Sylvia Ullmo : « Ce n’est pas François Hollande qui est médiocre. C’est sa gauche ! »

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Le chef de l’Etat n’est pas pire que ses prédécesseurs et son bilan n’est pas si négatif qu’on le proclame, pourvu que l’on lise attentivement ses confidences récentes, explique l’historienne Sylvia Ullmo, professeure honoraire de civilisation américaine, dans une tribune publiée par Le Monde.

Le Hollande bashing a parlé toutes les langues. La dernière est celle du Tweet : démolir en 140 signes. La parution du livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme « Un président ne devrait pas dire ça… » (Stock) en donne une triste illustration. […]

Qui de tous les commentateurs s’est vraiment donné la peine de lire ce gros ouvrage ? Trop fatigant sûrement ; un livre qui ne permet pas la lecture rapide parce qu’il a tenté de rendre compte de l’extrême complexité du parcours politique d’un homme qui a voulu en toutes circonstances garder la tête haute malgré les vicissitudes. Tout le tohu-bohu autour des « confidences imprudentes » du président tient à une pratique généralisée de la lecture tronquée. […]

Ce président qu’on accuse de légèreté s’est montré en fait profond, jaugeant avec justesse le danger lepéniste ou les incertitudes de Barack Obama. Ce président dont on a dénoncé l’indécision et la faiblesse, a pris rapidement et fermement la décision de faire la guerre au Mali et de la réussir, apportant à la France une vague de reconnaissance en Afrique.

On le disait capitaine de pédalo ? N’a-t-il pas surfé sur les tempêtes avec succès ? Les attentats, gérés avec son équipe, de façon magistrale, en évitant tout débordement de haine ou de violence ; les tensions avec la Russie, lors des événements d’Ukraine, sa gestion diplomatique impeccable lorsqu’il obtient la complicité d’Angela Merkel pour calmer l’ours russe et réussir à engager les pourparlers entre Poutine et Petro Porochenko. […]

Le destin de François Hollande me paraît illustrer l’histoire de la gauche la plus bête du monde : lorsqu’elle est aux affaires, la gauche française s’érige en armée de colonels, chacun se sentant autorisé à prétendre au plus haut des destins. Aucun ne s’est demandé « ce qu’il pouvait faire pour la gauche, mais s’est inquiété surtout de savoir ce que la gauche pouvait faire pour lui ».

Elle aura eu la peau d’un président de la gauche, dont on peut voir qu’il n’est en rien moins bon que ses prédécesseurs, Chirac et Sarkozy. Demain, elle se prépare à voter pour Alain Juppé dont elle a oublié qu’il est de droite et qu’il administrera une politique de droite que les petites réformes du travail de la loi El Khomry apparaîtront alors comme insignifiante. Ce n’est pas François Hollande qui est médiocre. C’est sa gauche ! Et demain elle va nous contraindre à faire des choix insupportables.

Le Monde


Epône (78) : des « gens du voyage » se font passer pour des policiers pour voler une voiture et une carte bancaire

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Un couple d’automobilistes, qui circulait à Epône (Yvelines) dans la nuit de vendredi à samedi, a été victime de quatre faux policiers qui ont prétexté un contrôle routier pour s’emparer de leur voiture et leur soutirer leur carte bleue sous la menace d’une arme, a-t-on appris de source policière.

Il est une heure du matin quand le couple croise la route des quatre hommes, au niveau d’un rond-point. «Ils se sont présentés comme des policiers de la BAC (Brigade anti-criminalité)», a indiqué la source policière.

Ils demandent les papiers au conducteur, puis font monter le couple dans leur voiture garée à proximité, alléguant une vérification d’identité pour les conduire au commissariat. Un membre de la bande suit la fausse patrouille au volant de la voiture des victimes, âgées de 27 et 26 ans.

«Puis ils les amènent dans un chemin, s’arrêtent et l’homme sent un objet métallique derrière sa nuque», a poursuivi la source. Ses agresseurs lui demandent sa carte bleue et son code: sous la menace de l’arme, «peut-être un airsoft», une réplique d’arme à feu, selon la source policière, il s’exécute. La bande finit par déposer le couple devant l’hôpital de Mantes-la-Jolie, leur destination initiale, où il devait rendre visite à leur enfant malade.

Les deux victimes alertent la police et, à la suite d’un appel général à toutes les patrouilles du secteur, la voiture du couple est repérée, tractée par un camion-benne dans un camp de gens du voyage.

20 minutes

Merci à Paul Kersey

Oloron-Sainte-Marie (64) : les migrants de la jungle de Calais sont en fait saoudiens et koweïtien.

Bruxelles : une Marocaine en visite à Molenbeek, frappée, droguée et violée

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Une Marocaine de 19 ans, venue en Belgique pour rendre visite à sa famille, a été droguée, battue et violée par un homme à Molenbeek (Bruxelles) qui lui a affirmé « qu’il était illégal en Belgique« . Après son agression, elle a tenté de mettre fin à ses jours.

Les faits remontent à la nuit du 30 septembre au 1 er octobre. En rentrant de chez sa sœur, une Marocaine de 19 ans, venue en Belgique pour rendre visite à sa famille, se perd dans les rues de Molenbeek et s’arrête dans un night-shop pour demander son chemin. « Tu as besoin d’aide, viens avec moi, on va t’aider et te ramener chez toi», lui dit son violeur avant de l’emmener vers sa camionnette de la marque Peugeot Partner et de couleur noire. Plusieurs hommes sortent alors du véhicule et le calvaire va commencer pour la jeune femme.

Alors que les compagnons du violeur attendent que ça se termine, La Marocaine de 19 ans est frappée, droguée et violée pendant plus d’une heure. Les supplications de la jeune maman n’y ont rien fait.

L’homme a continué de violer sa victime et lui a crié qu’«il n’en avait rien à faire, qu’il était illégal en Belgique, que rien ne pouvait lui arriver», a précisé la jeune femme dans une plainte que nos confrères de la Dernière Heure ont pu consulter.

Après lui avoir volé son GSM, son argent (550 euros) et son passeport marocain, le violeur a lâché sa victime à la chaussée de Gand. La jeune femme a tenté de porter plainte au commissariat de Molenbeek mais dans l’incapacité de s’exprimer en français, son récit n’a pas pu être pris en compte par les policiers. En sortant du commissariat, la Marocaine a tenté de mettre fin à ses jours en sautant dans le canal mais un passant l’a empêchée de commettre l’irréparable.

Toujours d’après les informations de la DH, le violeur et ses complices n’ont a priori pas encore été identifiés ni interpellés.

sudinfo

Merci à pauvrebelgique

Airbnb fera signer à ses loueurs une charte anti-discrimination

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Qu’est-ce que « L’engagement de la communauté » Airbnb ?

Un peu plus tôt cette année, nous avons lancé une large initiative de lutte contre les préjugés et les discriminations au sein de la communauté Airbnb. Dans le cadre de cette initiative, nous demandons à chacun d’entre vous d’adhérer à L’engagement de la communauté suivant (à compter du 1er novembre 2016) pour pouvoir continuer à utiliser Airbnb :

J’accepte de traiter tous les membres de la communauté Airbnb avec respect, sans préjugé et sans distinction de race, religion, origine nationale, origine ethnique, handicap, sexe, identité de genre, orientation sexuelle, ou âge.

Comment accepter l’engagement ?

Le 1er novembre ou ultérieurement, l’engagement s’affichera lors de votre connexion ou à l’ouverture du site web d’Airbnb, de l’application mobile ou de l’application pour tablette. Vous serez automatiquement invité à l’accepter.

Que se passe-t-il si je refuse l’engagement ?

Si vous choisissez de le refuser, vous ne pourrez plus héberger de voyageurs ni réserver sur Airbnb, et vous aurez la possibilité d’annuler votre compte. Lorsqu’un compte est annulé, les voyages déjà réservés sont également annulés. Les réservations sont impossibles, tout comme l’accueil de voyageurs ; cependant, vous pouvez continuer à consulter les annonces Airbnb.

Si je refuse l’engagement et que j’annule mon compte, que deviennent mes paiements ?

Si vous annulez votre compte en tant que voyageur, les réservations à venir sont remboursées conformément aux conditions d’annulation de l’hôte. Vous devriez recevoir le remboursement sous 7 jours ouvrés. Si vous annulez votre compte en tant qu’hôte, vous êtes payé pour les voyages terminés via votre mode de versement habituel sous 14 jours ouvrés. Que vous soyez hôte ou voyageur, les cartes cadeaux, les coupons ou les crédits de parrainage Airbnb ne sont plus utilisables. Si vous devez de l’argent à Airbnb, nous vous contacterons pour le paiement du solde.

Que faire si j’ai des remarques sur l’engagement ?

Nous acceptons volontiers vos remarques sur L’engagement de la communauté, ainsi que sur toutes nos initiatives pour lutter contre les discriminations. Vous pouvez nous contacter à l’adresse allbelong@airbnb.com.

Airbnb

Doué-la-Fontaine (49). Hollande en visite dans un centre d’accueil : « Chaque migrant pourra construire sereinement son projet »

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Le président de la République s’est rendu samedi 29 octobre à Doué-la-Fontaine (Maine-et-Loire) pour visiter un centre migratoire où 38 migrants ont été transférés en provenance de Calais. A l’issue de cette visite, François Hollande s’est exprimé devant la presse.

Le président s’est réjoui que l’évacuation de la lande de Calais se soit déroulée sans «aucun incident», affirmant que la France ne tolérerait pas sur son sol de camps de migrants qui, selon lui, bafouent les valeurs nationales de solidarité.

«La population française a parfaitement compris ce que nous faisions et il n’y a eu aucun incident ni au départ ni à l’arrivée», s’est-il félicité, ajoutant : «Nous pourrons donc dans un délai très court maintenant évacuer la totalité de ce qu’on a appelé le camp de Calais.»

RT

« Wassila et ses filles, ‘une famille française’» (Le Monde)

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Six femmes musulmanes, une mère, Wassila, et ses filles, Jihene, Halima, Ismahane, Meilek et Yasmine, âgées de 14 à 57 ans, débattent de leurs façons de pratiquer leur religion, du racisme ordinaire, des hommes politiques.

Dès qu’il se passe « quelque chose » désormais, toutes espèrent que le responsable ne portera pas un nom arabe. Quand celui du terroriste du 14-Juillet est tombé, une même grimace les a rassemblées : « On est mal. »

[…] Wassila est arrivée de Tunisie à 8 ans, suivant l’exil d’un père soudeur venu travailler sur les chantiers du sud-est de la France. Malgré les années qui ont passé, sa double nationalité, ses sept enfants et autant de petits-enfants nés ici, les « Rentrez chez vous ! » n’ont pas cessé. Ils ont même repris de plus belle depuis quelque temps. Alors, elle a réuni tout le monde pour dire stop. « On est chez nous. C’est tout. » […]

Une éducation sans prière ni langue arabe, « à part ‘passe-moi la fourchette’peut-être», glousse Halima, qui a appris depuis. A 32 ans, elle se souvient des sorties au McDonald’s de son enfance. Le régime halal se faisait plus souple en dehors de la maison. « Maintenant, c’est hamburger au poisson pour tout le monde», note-t-elle, en remontant une couverture sur sa petite dernière, assoupie contre elle. […]

Jihene admet avoir « frôlé l’extrême ». Même dans sa famille, les regards se sont faits plus appuyés lorsqu’elle a revêtu le jilbeb, une longue robe souvent noire, couvrant l’intégralité du corps, mais pas le visage. Ce n’est pas qu’ils étaient vraiment inquiets, nuancent les autres, simplement surpris. Son père un peu, tout de même, confie sa mère : « Il me demandait : ‘Pourquoi elle se soumet comme ça ?’ » Jihene, elle, refuse d’être définie comme une femme dominée. « Une femme libre est-elle forcément dénudée ? » Tout en ne serrant pas la main des hommes, elle se sent « féministe à 100 %». La meilleure preuve à ses yeux : le voile, chez elle comme dans la société, « il faut le vouloir pour le porter. Si ce n’est pas du féminisme ça ! »

En grandissant, ce sont elles, les aînées, qui ont ramené quelques règles religieuses au sein du foyer. « On ne mange pas de porc, on ne boit pas», énumère Mostafa, seul garçon de la fratrie. « Et fumer, on fume ou pas ? » le taquine l’une de ses sœurs. L’adolescent de 15 ans répond en enfonçant simplement la tête dans son tee-shirt fluorescent du Barça, trahissant un vice passé ou présent.

Le voile est également entré tardivement dans la famille. Jihene, la plus âgée, fut la première à le porter en 2009. Elle avait 26 ans. Sa mère l’a rapidement imitée, poussée par son geste à « réfléchir sur [sa] façon de pratiquer», puis une autre de ses sœurs, l’absente, a suivi. « Pourquoi tata porte le voile et toi non ? » Lorsque les enfants des unes posent des questions sur le choix des autres, toutes répondent que « c’est personnel», qu’aucune n’est meilleure que l’autre. […]

Le Monde

Nouvelles manifestations de policiers, malgré les annonces du gouvernemen. MàJ : soutien des pompiers à Toulouse

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Plusieurs centaines de policiers et leurs familles se sont rassemblés samedi après-midi place du Capitole à Toulouse, où les pompiers leur ont apporté un bruyant soutien. Les manifestants, en civil et au nombre d’environ quatre cents, selon un officier de police en tenue, ont chanté la Marseillaise avant de prendre la direction de la préfecture.

Treize véhicules de pompiers, dont certains portaient la mention « pompiers en colère », sont arrivés sur la place du Capitole toutes sirènes hurlantes et sont passés sous les applaudissements nourris des policiers. « Les pompiers ont aussi besoin de sécurité et de respect lors de leurs interventions« , a commenté un fonctionnaire du commissariat central de Toulouse, rappelant que les « interventions des secours dans les quartiers sensibles sont toujours appuyées » par les forces de l’ordre.

Europe 1


En dépit du plan annoncé mercredi 26 octobre par le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve en faveur des policiers affectés à la sécurité publique, des rassemblements ont continué d’avoir lieu dans plusieurs villes de France. Vendredi 28, 400 policiers de toute l’Ile-de-France se sont réunis devant le château de Versailles (Yvelines), puis dans les rues de la ville, avec pour slogan « Les policiers ne lâcheront rien ». De petits rassemblements ont également eu lieu à Paris ou à Avignon.

Jeudi, environ un millier de policiers s’étaient rassemblés à Lyon, quatre cents à Metz, deux cents à Toulon, 150 à Saint-Etienne ou encore une centaine à Cherbourg ou Charleville-Mézières. Selon des sources policières, ces rassemblements ont au total réuni « moins de 2 000 personnes » alors qu’au plus fort de la grogne, les policiers étaient 3 000 à se réunir dans les rues, sans étiquette syndicale, pour manifester leur ras-le-bol.
D’autres manifestations devaient se dérouler à Lille, Strasbourg, Cannes, Le Havre, Nancy, Arras, Montpellier et Toulon, et un rassemblement a eu lieu dans la journée à Nice. D’autres rassemblements sont prévus pour ce week-end, notamment à Toulouse.

Queue de comète ou persistance de la colère ? Difficile de jauger. Mercredi, au sortir de leur audience élyséenne avec François Hollande et à l’annonce d’un plan d’action de 250 millions d’euros, les syndicats de police avaient salué des annonces « importantes » et s’étaient dits globalement « satisfaits ».

«Ce sont des mesurettes, croit plutôt Stéphane, un policier d’une brigade de nuit des Yvelines, un des foyers de la grogne policière. Il est aussi délégué du syndicat de gardiens de la paix Unité SGP Police FO. Notre hiérarchie pense que le mouvement s’étiole, mais je n’en suis pas si sûr».

«On nous appelle à la reprise d’activité, compte tenu des moyens qui ont été débloqués, mais dans beaucoup d’unités, il y a un refus catégorique, assure un autre policier des Yvelines. Si on se remet au boulot, on va passer aux oubliettes. » Ce policier décrit une sorte de grève du zèle dans les services : «Les effectifs sont en patrouille mais ne prennent pas d’initiative. Si un jeune fume un joint, on va l’écraser mais pas l’amener au poste. Si un conducteur est au téléphone, on va lui demander d’arrêter mais on ne va pas le verbaliser.» […]

«Les collègues veulent une vraie réponse pénale. Il devrait y avoir systématiquement des comparutions immédiates lorsqu’il y a des violences à l’encontre des policiers, avec mandat de dépôt effectif.»
Aux antipodes de cette attente, le Syndicat de la magistrature (SM, gauche) avait considéré jeudi, en réaction au plan annoncé par M. Cazeneuve, que le ministre de l’intérieur avait cédé au «populisme» en désignant « à la vindicte policière un coupable idéal : l’autorité judiciaire».

Le Monde


Côte d’Ivoire : la nouvelle Constitution mettra fin à l’«ivoirité»

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Un référendum est prévu en Côte d’Ivoire dimanche 30 octobre pour l’adoption d’une nouvelles constitution qui supprime le concept «d’ivoirité». Son adoption sera une formalité, l’opposition ayant appelé à le boycotter.

Depuis deux décennies, la Côte d’Ivoire a vécu une crise de succession entre ses trois principaux chefs politiques – Alassane Ouattara, Laurent Gbagbo et Henri Konan Bédié – qui s’est muée en une crise identitaire forgée sur un concept : l’« ivoirité ». Cette variante de « la préférence nationale » dans un pays où le quart de la population est étranger aura servi à marginaliser les immigrés venus de toute l’Afrique de l’Ouest, mais aussi les communautés du nord de la Côte d’Ivoire. L’actuel président en fut la première victime politique, empêché de se présenter aux élections de 1995 et de 2000 pour cause de «nationalité douteuse».

En cas d’adoption de la nouvelle Constitution, un futur candidat à la présidentielle devra être « exclusivement de nationalité ivoirienne, né de père ou de mère ivoirien d’origine ». Exit donc, le très polémique article 35 de l’actuelle Loi fondamentale qui stipule que les ascendants de celui-ci doivent être tous deux ivoiriens d’origine. «Tant que des dispositions scélérates sont encore en vigueur, nous ne pouvons pas nous ancrer dans la modernité. Cette nouvelle Constitution sera un catalyseur de la réconciliation, le socle sur lequel la Côte d’Ivoire va se débarrasser de ses problèmes identitaires», prophétise le ministre Ally Coulibaly. […]

L’opposition, scindée schématiquement en deux depuis le transfert de Laurent Gbagbo devant la Cour pénale internationale, s’est saisie de ce référendum pour retrouver un peu d’unité. Appelant à un boycott du vote de dimanche, elle dénonce, à l’instar de Pascal Affi Nguessan, le président du Front populaire ivoirien, « un acte de trahison, car le président de la République n’avait pas le droit d’abroger la Constitution actuelle. Pour Alassane Ouattara, la seule justification à cette forfaiture est le verrouillage de sa succession et la mainmise de son clan sur le pouvoir».

Le Monde

Sénégal : un Francais écroué pour «injures sacrilèges», par SMS, envers les musulmans

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Un ressortissant français a été inculpé et écroué jeudi à Dakar après avoir notamment proféré des «injures» envers la religion musulmane par SMS. […]

Le Français, dont l’âge et la profession n’ont pas été révélés, a été écroué jeudi à Dakar après avoir été déféré le même jour devant le parquet, a affirmé une source judiciaire. «Il a eu une altercation avec son patron et a proféré des insultes envers le prophète (Mahomet), le Coran et toute la communauté musulmane», a expliqué la même source judiciaire selon laquelle les faits se sont passés à Dakar.

Le Français a été placé sous mandat de dépôt à Rebeuss, principale prison de Dakar, à la suite d’une affaire l’ayant opposé à son employeur, a confirmé une autre source judiciaire. […] Après une altercation avec son employeur, le Français lui a ensuite envoyé des SMS dans lesquels il a «injurié» les musulmans, a ajouté cette source selon laquelle le prévenu est «inculpé pour abus de confiance, accès frauduleux à un système informatique, vol de données, et injures à caractère religieux par le biais d’un système informatique». […]

En janvier 2015, le Sénégal avait interdit la diffusion d’une édition de l’hebdomadaire Charlie Hebdo et du quotidien français Libération publiant une caricature présentée comme celle du prophète de l’islam, religion de plus de 90% de la population.

20 Minutes

Merci à livercingetorix

Flics, magistrats, profs, matons, militaires… l’État craque !

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Des flics tellement en colère qu’ils descendent dans la rue, des magistrats en état de sidération, des profs régulièrement agressés, des matons à bout, des militaires en manque de reconnaissance… Les agents publics sont en première ligne face à la montée de la violence alors même que le sommet de l’exécutif donne le spectacle du délitement de l’autorité. Un dossier à retrouver dans Marianne cette semaine. Extrait.

Le président de la République recevait les syndicats de policiers mercredi 26 octobre à l’Elysée, dans le but de calmer une jacquerie de flics qui tiennent les rues de l’Hexagone depuis plus de dix jours, à l’heure où s’écrivent ces lignes, comme les manants autrefois tenaient les places des villages. Et, comme le Bourbon, il devait se demander : « Comment en suis-je arrivé là ? » Car François Hollande était presque certain d’avoir tout bon en ce qui concerne l’ordre public. Il sufft de lire la page 629 de l’incroyable chronique du règne tenue par Gérard Davet et Fabrice Lhomme pour constater son incroyable aveuglement : «On ne nous fera pas le procès du laxisme, ou de ne pas avoir de résultats en matière de sécurité, car les résultats sont très convenables.»

La gauche de gouvernement est sûre de son bon droit parce qu’elle a augmenté les effectifs de la sécurité, de la justice et de l’enseignement, que la droite sarkoziste avait laminés. Mais, confie un responsable socialiste, « l’histoire a galopé plus vite que les crédits budgétaires et depuis lors les institutions sont toujours submergées». Par les attentats terroristes de 2015 et 2016, d’abord, par les violences en marge des manifestations contre la loi El Khomri ou sur les ZAD autoproclamées, ensuite, et, maintenant, par les cocktails Molotov lancés par des voyous contre les policiers en faction, mais aussi des lycées ou des autobus de banlieue. Toujours attentif à ces phénomènes, Manuel Valls identifie, le 24 octobre, « le pendant de cette violence extrême : la contestation large de l’autorité ».

Un défi est jeté à la face de l’Etat. Et ceux qui reçoivent la gifle sont les petits, les sans-grade : les soldats de l’Etat craquent.

Marianne

Merci à oxoxo

États-Unis : tranche de vie à Philadelphie

Eure (27) : le train Paris-Bernay touché par une plaque posée sur la voie

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Qui en veut aux trains de la SNCF ? Les actes de malveillance semblent se multiplier dans l’Eure. Dernier épisode en date, l’accident qui s’est produit sur l’Intercités 3343 parti jeudi de la gare Saint-Lazare à Paris à 13 h 45.

Alors qu’il passait devant la gare de Beaumont-le-Roger, il a heurté vers 14 h 55 une plaque de métal posée sur la voie. « Une grosse frayeur, on a senti une secousse, on a sursauté, ça a été assez violent », a précisé un Bernayen présent dans la rame. Selon ce dernier, le train est resté à l’arrêt en pleine voie pendant un quart d’heure entre Beaumont et Serquigny.

« Le constat a été effectué par le conducteur et aucune conséquence sur la voie et le matériel n’a été à déplorer », souligne le service communication de la SNCF Mobilités Normandie. Cet accident n’a pas fait de blessés mais a entraîné un retard important pour le Paris-Bernay arrivé à son terminus avec 20 minutes de retard. « Pour nous il s’agit d’un acte de malveillance », a déclaré une responsable de la communication de la SNCF Normandie qui précise que l’entreprise « s’apprête à porter plainte ». Une enquête est en cours.

Ce n’est pas la première fois que l’Eure est confronté à ce genre d’épisode. Le 12 octobre, un train Intercités assurant la liaison Granville (50) – Paris avait percuté un bloc de béton posé sur la voie, du côté de Nonancourt, sans faire de blessés. Trois ou quatre jeunes avaient été vus à proximité de l’accident.

Le 15 septembre, dans le même secteur, de grosses pierres (il s’agirait de plaques d’égout, selon la SNCF) avaient été disposées sur la même ligne près d’un pont. Enfin, sur la ligne Paris-Deauville, un train a été caillassé le 5 septembre lors de son passage en gare de La Bonneville-sur-Iton, près d’Évreux. Deux vitres avaient alors volé en éclats mais aucun blessé n’avait été à déplorer.

Paris-Normandie

Merci à Ghost

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